Le prieuré de Croissy

Primitivement vouée à saint Martin, la petite église paroissiale (actuelle chapelle Saint-Léonard) date de la fin du 12e siècle. Partiellement rebâtie au 13e siècle, elle abrite alors les reliques de saint Léonard et devient rapidement un lieu de pèlerinage réputé. La légende locale rapporte qu’au milieu du 13e siècle, la reine Blanche de Castille, mère de Saint-Louis, y serait venue prier le retour de son fils prisonnier en Egypte pendant la 7e Croisade. Elle aurait également, par ses dons, financé la reconstruction de l’édifice.

Le Pavillon de La Muette

Trois Rois de France y ont vécu : Henri IV, François Ier, ainsi que Louis XIV qui y est né en 1638. Ce dernier, s'éclipsant du château de Saint Germain en Laye, venait gaiement y faire des frivolités avec ses maîtresses.

A l'origine, ce n'était qu'un modeste pavillon de chasse, destiné à abriter les Rois et leurs Suites, au soir d'une journée de chasse. Sous Louis XIV, la construction, en 1669, de la superbe et classique terrasse de Saint Germain en Laye par Jules Hardouin MANSART, marque plus l’importance du Château du Val comme but de promenade, faisant passer le Château du Val au « statut » de résidence des courtisanes. Le jardinier artiste Varé en a dessiné le parc à la Française.

25km à allure moyenne avec André, en ce 29 juin

la Seine au pont de Chatou

Berges fleuries, et belles demeures

à Croissy

Sur le pont de Saint Germain

moment de réconfort

Le château du Val


3 Rois de France y ont vévu : Henri IV, François 1er ainsi que Louis XIV qui y est né en 1638. A l'origine, ce n'était qu'un modeste pavillon de chasse destiné à abriter les rois et leurs suites.

En 1674, Louis XIV y entreprend d'important travaux d'aménagement. La construction en 1669 de la superbe et classique terrasse de Saint Germain en Laye par Jules Hardouin MANSART, marque plus l'importance du château du Val comme but de promenade, le faisant passer au statut de résidence des courtisanes. En 1776, il est surélevé d'un étage. Une fois encore transformé en 1855, il est légué par ses propriétaires à la grande chancellerie de la Légion d'honneur.

en forêt de Saint Germain

dernier réconfort avant de gagner la gare d'Achères

par un diverticule bienvenu